Marché de l'emploi
Aujourd'hui déjà, les Eglises réformées de Suisse romande manquent de pasteur·e·s. Cette pénurie va massivement s'accentuer au cours des 6 à 10 prochaines années en raison d'une vague de départs à la retraite. Les perspectives professionnelles pour futur·e·s pasteur·e·s sont donc attrayantes.
Le responsable de la formation professionnelle au ministère pastoral oriente volontiers les personnes intéressées par le métier de pasteur·e. N'hésitez pas à prendre contact avec lui.
Perfectionnement / Formation continue
Généralement, les jeunes pasteur·e·s ayant effectué leur stage de 18 mois commencent leur ministère comme pasteur·e suffragant·e pendant une année au moins, avant de formellement prendre la responsabilité d'une paroisse ou d'un ministère spécialisé (aumônier ou aumônière de prisons ou d'hôpitaux, directrice ou directeur d'un centre d'études, coordinateur ou coordinatrice en catéchèse, etc).
Selon les besoins de l'Eglise en général, de leurs compétences et ministère en particulier, les pasteur·e·s peuvent entreprendre des stages professionnels ou compléter leur formation. Les pasteur·e·s peuvent notamment envisager les perfectionnements suivants :
- Sessions de formation pour les ministres durant les cinq premières années de ministère mises sur pied par l’opf AF5;
- Sessions de formation continue pour employé·e·s de l'Eglise organisées par l'office protestant de la formation (opf);
- Cours et séminaires organisés par l'Institut des sciences bibliques (Université de Lausanne), ainsi que par l'Institut oecuménique de Bossey (GE), l'Institut d'éthique (Université de Genève) et l'institut lémanique de théologie pratique: par simple intérêt ou en vue d'obtenir un diplôme de spécialisation (1 an d'études universitaires) ou un doctorat en théologie (plusieurs années de recherches)
- Formations de longue durée (en supervision, en responsable de stage, en innovation, en formation d'adulte, en management d'organisation non-gouvernementale, etc.)